Les chemins Inca n etant pas visibles dans le sud de l Equateur, nous rejoignons le nord du Perou en bus.
Jeudi 28 mars
En Equateur c est le jeudi Saint. De grandes manisfestations sont organisees. Toutes les eglises sont ouvertes a la priere, a la confession et a la reconciliation. Une fois nos affaires seches et un bon repas avec la famille du padre nous reprenons la route direction Cuenca. Maria, nous accompagne jusqu a l arret de bus. Stephanie etait tres emu de quitter Cañar. Nous avons recu un accueil chaleureux et avons beaucoup discute/ echange. Nous voila partie pour 2 heures de bus.
Arrivee a Cuenca, nous cherchons un moyen de locomotion pour rejoindre le centre historique, nous nous renseignons aupres des personnes du terminal terrestre mais l accueil n est pas tres agreable. Tant pis, nous prenons le bus de la ville pour rejoindre le centre historique afin de trouver un endroit ou dormir. Le pere Mario, nous a conseille de chercher refuge aupres de la cathedrale.
Les eglises et la cathedrale sont noires de monde. La seule facon d approcher un pretre est d aller se faire confesser. Nous faisons la queue. Mickael voit un pretre qui se prepare a celebrer la messe. Il se dirige vers lui et lui explique succinctement notre projet. Le pretre occupe lui fait comprendre qu il n y a pas de probleme mais que nous devons attendre la messe. Nous attendrons jusqu a 20H30 ..... le temps c est de l argent ! Stephanie va revenir tres patiente !!!!!!!!
Il nous offrira une chambre avec un lit et une salle de bain, une grande premiere, nous etions tres heureux. Le seul regret que nous avons de cette journee est de ne pas avoir pu discuter avec le pere.
Vendredi 29 mars
Ce matin, nous repartons avec 2 pommes en poche offertes par le pere. Nous avons seulement le temps d echanger quelques mots sur nos origines. Nous rejoingnons le terminale terrestre a pied pour prendre un bus en direction de Loja 4 heures de bus.
Arrivee a Loja, nous marcherons jusqu au centre historique ou nous attendrons jusqu a 18 heures la pretre Walter Rodriguez Ramirez qui nous offrira une piece avec un lit. Nous sommes tres heureux. Le pretre a passe 6 mois en Belgique et a appris un peu le francais. Il est content de pouvoir echanger quelques mots de francais avec nous. Ce soir il y a une enorme fete sur la passion du christ: messe, chants, film passe sur un ecran geant, piece de theatre et musiques folkloriques jusqu au bout de la nuit. Lors du diner, nous discuterons avec d autres pretres ainsi que les freres et soeurs du pere Walter. Stephanie se reveille vers 4 heures du matin avec la turista.
Samedi 30 mars
Stephanie a du mal a se reveiller. Une des soeurs du pretre lui offre une boisson chaude type camomille. Elle n arrivera pas a avaler le plat de mais/oeuf seulement deux pommes.
Nous repartons a pieds vers 10 heures rejoindre le terminal terrestre pour prendre un bus en direction de Vilcabamba. Apres deux heures de bus, nous nous renseignons pour aller a Cajamarca..... Le chauffeur du bus nous dit qu il faut retourner a Loja.... Nous decidons de nous renseigner en ville afin d en savoir plus. Apres avoir passe une bonne partie de la journee a se renseigner pour rejoindre la ville de cajamarca en toute securite, nous decidons de prendre le bus de 22h30 direction Zumba (6 heures de bus).
Ensuite, il nous faudra prendre une voiture pour rejoindre la frontiere (2 heures) et de la nous aurons la possibilite de prendre un bus pour Cajamarca. (Personne ne connait la duree du voyage entre la frontiere et Cajamarca. Nous estimons ce trajet a 10 ou 12 heures de bus).
samedi 30 mars 2013
vendredi 29 mars 2013
De Riobamba a Canar
Mercredi 20 mars
Ce matin nous nous occupons du blog et nous tentons a mainte reprise de retirer des l argent avec la carte bancaire qu il nous reste (l autre ne fonctionnent plus). Nous partons de l hotel vers 12h pour aller vers el parque sucre ou se trouve un centro de salud que l on nous a recommande. Quand nous y arrivons, nous devons attendre sa reouverture a 14H. La consultation a coute 5 dollars et a duree 1 heure : nettoyage, desinfection, recommandation alimentaire, ... les medicaments sont inclus. Bilan, rester au repos pendant 48h pour eviter une infection et le medecin nous conseille de revenir le lendemain afin de controler la plaie. Nous retournons au meme hotel que la veille. Vers 15h survient un violent orage, il y a par endroit 50cm d eau dans les rues de Riobamba. Nous profitons de cette journee pour nous reposer.
Jeudi 21 mars
Stephanie ne sent pas tres bien aujourd hui, elle a mal au ventre et a une paupiere rouge et douloureuse. Nous profitons de ma consultation pour en parler au medecin. Nous devons continuer a nous reposer tout en pensant a la maitrise de notre budget. L assurance ne prenant en charge que les frais de consultations et les frais de medicaments, Stephanie propose que l on demande de l aide a l eglise. Un pretre nous indique une adresse : la Casa Indigena. Nous pouvons y passer la nuit pour 50 cents chacun mais l adresse ressemble a un centre d hebergement d urgence : dortoirs et sanitaires collectifs a l hygiene douteuse. Nous decidons de tenter notre chance en prenant la route en bus pour San Luis a 15 minutes de la. Le bus nous depose a son terminus et nous suivons la route a pied vers le centre du village. Alors qu il commence a pleuvoir, une femme nous interpelle de sa fenetre et nous recommande de nous presenter au presbytere. Le Pere Luis, nouveau venu, est apparement tres bien percu et nous recevra probablement. Nous y allons, nous dormirons ce soir a l abri dans une salle du prebytere. Vers 18h30, nous entendons une fanfare qui se rapproche. C est une procession pour la semaine Sainte, qui invite les habitants pour la messe de 19h. Nous y participons. Elle est tres anime, un groupe chante en fin de ceremonie. A la sortie une boisson chaude chocolate et du pain nous attendent pour partager avec les habitants. Nous echangons quelques mots avec eux. En rentrant au presbytere nous echangeons avec le pere Luis et des volontaires.
Vendredi 22 mars
Nous prenons le petit dejeuner en compagnie du Pere Luis. Avant de repartir nous faisons un tour rapide de San Luis afin de verifier l etat du terrain. C est une route et les habitants nous confirme qu il n y a que cette route pour rejoindre Punin. Nous prenons alors un bus vers Punin, Flores puis Atillo. Nous commencons a nous diriger a pied vers Achupallas, nous sommes rapidement stopper par le terrain boueux : nous ne voulons pas renouveller l experience de l autre jour. Un homme nous indique un autre chemin, nous redescendons vers le village ou la nuit tombante nous demandons aux habitants un coins pour poser notre tente en securite pres de leur maison. Apres plusieurs echecs nous decidons de remonter vers une petite auberge pour passer le nuit avant de reprendre un bus retour pour Riobamba d ou nous pourrons reprendre la route vers Achupallas. Arrives a l auberge nous retrouvons le chauffeur du bus qui nous a amene, il nous propose de dormir dans le bus en attendant le depart demain matin 6h pour Riobamba.
Samedi 23 mars
Le bus nous ramene a Riobamba, nous nous rendons au terminal de bus. Nous trouvons avec difficulte le comptoir pour Achupallas, les gens ne connaissent pas vraiment ce village. Le comptoir est ferme. Une dame vient nous voir et nous accompagne vers le bon bus. Il faut d abord se rendre a Alausi puis prendre une camionette pour Achupallas. A Alausi, nous dormons de nouveau au presbytere, c est le Pere Enrique qui nous recoit. Apres la messe, il nous invite pour le diner. Dans l apres midi nous apprenons qu une camionette part le lendemain pour Achupallas pour 1 dollar par personne : mieux que ce qui nous avait ete propose a la descente du bus 15 dollars.
Dimanche 24 mars
En route vers Achupallas a bord d une camionnette, avec les locaux et 400 kg de ciment, le trajet dure environ une heure. Nous prenons la route sur un chemin clairement defini en direction de Ingapirca. Nous installons notre campement au bord d une riviere. Nous pourrons nous y laver : ca nous fait du bien mais qu est ce qu elle est froide !
Lundi 25 mars
Nous continuons notre chemin en direction de Ingapirca, nous marchons toute la journee. Nous essuyons une averse de grele. Notre briquet Zippo ne fonctionne plus, nous ne pouvons plus allumer notre rechaud pour faire cuire nos pates. Il nous reste plus que 2 paquets de biscuits a nous partager jusqu a demain. Nous sommes extenues.
Mardi 26 mars
Nous reprenons la route jusqu au village se San Jose ou nous arrivons trempes par la pluie qui tombe depuis une heure. Nous continuons jusqu a Ingapirca, ou nous dormons de nouveau au presbytere, acceuillis par le Pere Angel. Nous sommes extenues, je crois que le Pere Angel l a bien vu car il ne viendra pas discuter avec nous ce soir.
Mercredi 27 mars
Le Pere Angel nous invite pour le petit dejeuner, nous prenons un verre de lait chaud, un cafe et des petits pains. Nous discutons un peu avec lui, il nous interroge sur notre voyage et nous recommande le Pere Mario a Canar. C est le ventre plein que prenons la route vers Canar. Difficile d estimer le temps necessaire pour rallier Canar, suivant ce que les gens nous disent, il faut entre 1h30 et 4h. Il nous faudra en faite 3h30. Aujourd hui nous nous sentons bien, nous avons passes les 3 derniers jours entre 4000 et 4500 metres d altitude, nous nous sommes bien acclimates : nous marchons d un bon pas. Autre bonne nouvelle, ma phobie des chiens agressifs depuis la morsure de la semaine derniere s estompte. J ai remarque qu il faut en faite se retourner et leur faire face, ils se tiennent ainsi a distance. A Canar, nous demandons le Pere Mario, il nous recoit, nous offre un cafe, une boisson a base de plante medicinale et un morceau de pain. Nous pourrons laver notre linge, prendre une douche chaude. Il nous propose de diner avec lui ce soir, en compagnie de sa mere, son frere et sa niece venu specialement pour le jeudi Saint.
Ce matin nous nous occupons du blog et nous tentons a mainte reprise de retirer des l argent avec la carte bancaire qu il nous reste (l autre ne fonctionnent plus). Nous partons de l hotel vers 12h pour aller vers el parque sucre ou se trouve un centro de salud que l on nous a recommande. Quand nous y arrivons, nous devons attendre sa reouverture a 14H. La consultation a coute 5 dollars et a duree 1 heure : nettoyage, desinfection, recommandation alimentaire, ... les medicaments sont inclus. Bilan, rester au repos pendant 48h pour eviter une infection et le medecin nous conseille de revenir le lendemain afin de controler la plaie. Nous retournons au meme hotel que la veille. Vers 15h survient un violent orage, il y a par endroit 50cm d eau dans les rues de Riobamba. Nous profitons de cette journee pour nous reposer.
Jeudi 21 mars
Stephanie ne sent pas tres bien aujourd hui, elle a mal au ventre et a une paupiere rouge et douloureuse. Nous profitons de ma consultation pour en parler au medecin. Nous devons continuer a nous reposer tout en pensant a la maitrise de notre budget. L assurance ne prenant en charge que les frais de consultations et les frais de medicaments, Stephanie propose que l on demande de l aide a l eglise. Un pretre nous indique une adresse : la Casa Indigena. Nous pouvons y passer la nuit pour 50 cents chacun mais l adresse ressemble a un centre d hebergement d urgence : dortoirs et sanitaires collectifs a l hygiene douteuse. Nous decidons de tenter notre chance en prenant la route en bus pour San Luis a 15 minutes de la. Le bus nous depose a son terminus et nous suivons la route a pied vers le centre du village. Alors qu il commence a pleuvoir, une femme nous interpelle de sa fenetre et nous recommande de nous presenter au presbytere. Le Pere Luis, nouveau venu, est apparement tres bien percu et nous recevra probablement. Nous y allons, nous dormirons ce soir a l abri dans une salle du prebytere. Vers 18h30, nous entendons une fanfare qui se rapproche. C est une procession pour la semaine Sainte, qui invite les habitants pour la messe de 19h. Nous y participons. Elle est tres anime, un groupe chante en fin de ceremonie. A la sortie une boisson chaude chocolate et du pain nous attendent pour partager avec les habitants. Nous echangons quelques mots avec eux. En rentrant au presbytere nous echangeons avec le pere Luis et des volontaires.
Vendredi 22 mars
Nous prenons le petit dejeuner en compagnie du Pere Luis. Avant de repartir nous faisons un tour rapide de San Luis afin de verifier l etat du terrain. C est une route et les habitants nous confirme qu il n y a que cette route pour rejoindre Punin. Nous prenons alors un bus vers Punin, Flores puis Atillo. Nous commencons a nous diriger a pied vers Achupallas, nous sommes rapidement stopper par le terrain boueux : nous ne voulons pas renouveller l experience de l autre jour. Un homme nous indique un autre chemin, nous redescendons vers le village ou la nuit tombante nous demandons aux habitants un coins pour poser notre tente en securite pres de leur maison. Apres plusieurs echecs nous decidons de remonter vers une petite auberge pour passer le nuit avant de reprendre un bus retour pour Riobamba d ou nous pourrons reprendre la route vers Achupallas. Arrives a l auberge nous retrouvons le chauffeur du bus qui nous a amene, il nous propose de dormir dans le bus en attendant le depart demain matin 6h pour Riobamba.
Samedi 23 mars
Le bus nous ramene a Riobamba, nous nous rendons au terminal de bus. Nous trouvons avec difficulte le comptoir pour Achupallas, les gens ne connaissent pas vraiment ce village. Le comptoir est ferme. Une dame vient nous voir et nous accompagne vers le bon bus. Il faut d abord se rendre a Alausi puis prendre une camionette pour Achupallas. A Alausi, nous dormons de nouveau au presbytere, c est le Pere Enrique qui nous recoit. Apres la messe, il nous invite pour le diner. Dans l apres midi nous apprenons qu une camionette part le lendemain pour Achupallas pour 1 dollar par personne : mieux que ce qui nous avait ete propose a la descente du bus 15 dollars.
Dimanche 24 mars
En route vers Achupallas a bord d une camionnette, avec les locaux et 400 kg de ciment, le trajet dure environ une heure. Nous prenons la route sur un chemin clairement defini en direction de Ingapirca. Nous installons notre campement au bord d une riviere. Nous pourrons nous y laver : ca nous fait du bien mais qu est ce qu elle est froide !
Lundi 25 mars
Nous continuons notre chemin en direction de Ingapirca, nous marchons toute la journee. Nous essuyons une averse de grele. Notre briquet Zippo ne fonctionne plus, nous ne pouvons plus allumer notre rechaud pour faire cuire nos pates. Il nous reste plus que 2 paquets de biscuits a nous partager jusqu a demain. Nous sommes extenues.
Mardi 26 mars
Nous reprenons la route jusqu au village se San Jose ou nous arrivons trempes par la pluie qui tombe depuis une heure. Nous continuons jusqu a Ingapirca, ou nous dormons de nouveau au presbytere, acceuillis par le Pere Angel. Nous sommes extenues, je crois que le Pere Angel l a bien vu car il ne viendra pas discuter avec nous ce soir.
Mercredi 27 mars
Le Pere Angel nous invite pour le petit dejeuner, nous prenons un verre de lait chaud, un cafe et des petits pains. Nous discutons un peu avec lui, il nous interroge sur notre voyage et nous recommande le Pere Mario a Canar. C est le ventre plein que prenons la route vers Canar. Difficile d estimer le temps necessaire pour rallier Canar, suivant ce que les gens nous disent, il faut entre 1h30 et 4h. Il nous faudra en faite 3h30. Aujourd hui nous nous sentons bien, nous avons passes les 3 derniers jours entre 4000 et 4500 metres d altitude, nous nous sommes bien acclimates : nous marchons d un bon pas. Autre bonne nouvelle, ma phobie des chiens agressifs depuis la morsure de la semaine derniere s estompte. J ai remarque qu il faut en faite se retourner et leur faire face, ils se tiennent ainsi a distance. A Canar, nous demandons le Pere Mario, il nous recoit, nous offre un cafe, une boisson a base de plante medicinale et un morceau de pain. Nous pourrons laver notre linge, prendre une douche chaude. Il nous propose de diner avec lui ce soir, en compagnie de sa mere, son frere et sa niece venu specialement pour le jeudi Saint.
mercredi 20 mars 2013
De Latacunga a Riobamba
Lundi 18 mars
Le chemin en direction de Salcedo est riche en decouverte. Il longe la vallee agricole de l Equateur. Nous passons devant plusieurs hacienda (exploitation) ou les ouvriers agricole nous interpellent, curieux de savoir d ou nous venons et ou nous allons. Ils n ont pas l habitude de voir des etrangers sur ce chemin. Un jeune paysan nous arrete meme pour nous offrir des pommes de terre. Nous sommes tres emu par ces echanges. L aspect humain de notre voyage est aux antipodes.
En fin de journee, nous posons notre toile de tente dans le jardin de la famille Salgado Cardenas, gardien d une exploitation de brocolis. Nous nous trouvons loin de la route a l abri des regards. Nous avons longuement discuter le soir. Le pere de famille etait tres curieux de savoir pourquoi nous marchions sur "El camino inca" et quelle etait notre mission. C est la premiere fois depuis le debut de notre aventure que nous avons un vrai echange avec une famille equatorienne.
Mardi 19 mars
Nous reprenons la route a 7h00 accompagne du pere de famille, qui ne travaille pas ce jour la, en direction de Patate. Les adieux sont emouvant.
Nous quittons les paves pour une route bithume qui rend la journee ininteressante.
Le bithume me chauffe le dessous des pieds et la circulation frequente requiere toute notre attention.
Nous decidons au prochain village de continuer en camionnette jusqu a Patate pour notre securite.
Quand nous arrivons enfin a l entree du village, pas de bol, un chien sort d une maison en aboyant et mord Mickael au mollet gauche. Je retiens mon souffle car la vue du sang me fait tourner de l oeil. Nous nous dirigeons immediatement "Al centro de Salud" (dispensaire) du village. Le medecin nettoie la plaie et examine la blessure. Fort heureusement la blessure n est pas profonde, toutefois, il faudra la faire verifier, jusqu a vendredi, par un medecin. Nous reprenons la route en direction de Patate, apres avoir verifier que le chien est bien vaccine.
Depuis notre depart c est la premiere fois que nous avons le moral a zero.
Arrivee a Los Andes, nous prenons une camionnette jusqu a Patate ou nous prenons un bon Almuerzo (dejeuner) Apres avoir repris des forces, nous reprenons la route en direction de Riobamba sous la pluie. Ce n est vraiment pas notre jour. Nous ne trouvons pas notre chemin et les habitants de Patate ne connaissent pas d autre voie que la route pour rejoindre notre prochaine etape. Mickael en a raz le bol et me demande d aller dans un hotel a Riobamba afin de se reposer.
Apres deux heures de bus, nous arrivons a Riobamba ou nous nous installons dans un hotel a la decoration colonial.
Le chemin en direction de Salcedo est riche en decouverte. Il longe la vallee agricole de l Equateur. Nous passons devant plusieurs hacienda (exploitation) ou les ouvriers agricole nous interpellent, curieux de savoir d ou nous venons et ou nous allons. Ils n ont pas l habitude de voir des etrangers sur ce chemin. Un jeune paysan nous arrete meme pour nous offrir des pommes de terre. Nous sommes tres emu par ces echanges. L aspect humain de notre voyage est aux antipodes.
En fin de journee, nous posons notre toile de tente dans le jardin de la famille Salgado Cardenas, gardien d une exploitation de brocolis. Nous nous trouvons loin de la route a l abri des regards. Nous avons longuement discuter le soir. Le pere de famille etait tres curieux de savoir pourquoi nous marchions sur "El camino inca" et quelle etait notre mission. C est la premiere fois depuis le debut de notre aventure que nous avons un vrai echange avec une famille equatorienne.
Mardi 19 mars
Nous reprenons la route a 7h00 accompagne du pere de famille, qui ne travaille pas ce jour la, en direction de Patate. Les adieux sont emouvant.
Nous quittons les paves pour une route bithume qui rend la journee ininteressante.
Le bithume me chauffe le dessous des pieds et la circulation frequente requiere toute notre attention.
Nous decidons au prochain village de continuer en camionnette jusqu a Patate pour notre securite.
Quand nous arrivons enfin a l entree du village, pas de bol, un chien sort d une maison en aboyant et mord Mickael au mollet gauche. Je retiens mon souffle car la vue du sang me fait tourner de l oeil. Nous nous dirigeons immediatement "Al centro de Salud" (dispensaire) du village. Le medecin nettoie la plaie et examine la blessure. Fort heureusement la blessure n est pas profonde, toutefois, il faudra la faire verifier, jusqu a vendredi, par un medecin. Nous reprenons la route en direction de Patate, apres avoir verifier que le chien est bien vaccine.
Depuis notre depart c est la premiere fois que nous avons le moral a zero.
Arrivee a Los Andes, nous prenons une camionnette jusqu a Patate ou nous prenons un bon Almuerzo (dejeuner) Apres avoir repris des forces, nous reprenons la route en direction de Riobamba sous la pluie. Ce n est vraiment pas notre jour. Nous ne trouvons pas notre chemin et les habitants de Patate ne connaissent pas d autre voie que la route pour rejoindre notre prochaine etape. Mickael en a raz le bol et me demande d aller dans un hotel a Riobamba afin de se reposer.
Apres deux heures de bus, nous arrivons a Riobamba ou nous nous installons dans un hotel a la decoration colonial.
lundi 18 mars 2013
De Otavalo a Latacunga
Dimanche 10 mars
Nous prenons la route, après le petit déjeuner, pour notre premier jour de marche. Nous sortons assez rapidement de la ville d Otavalo. Une fois la Panamericaine traversée nous passons tout d abord des villages ou les habitants sortent a leur porte, intrigues, ils nous indiquent le chemin vers la Laguna Mojanda : lac vers lequel nous nous dirigeons. Petit a petit nous nous enfonçons vers la foret et les aboiements des chiens sont remplacés par le bruit des feuilles sous le vent et par le chant des oiseaux bien plus agreable.
Plus tard l´orage gronde au loin et nous essuyons notre première averse. Le terrain devient glissant d´autant plus que nous devons gravir près de 900 mètres de dénivelé et que nous n´avons pas trouve notre itinéraire. Nous suivons un chemin plus ou moins parallèle (nous le retrouverons plus tard).
Nous arrivons a la Laguna Mojanda en fin de journée ou nous poserons notre premier campement.
Lundi 11 mars
C est la lumière du soleil qui nous réveil, il est 6h00. Il nous faut près de 2h30 pour nous préparer :
Mardi 12 mars
Ce matin, nous commençons la route en longeant la Panaméricaine sur 2 Km. Nous nous dirigeons vers l obélisque : monument dédié a la ligne de l équateur. Il s agit d une horloge solaire géante située pile sur l équateur : d un cote l hémisphère nord de l autre l hémisphère sud. Notre itinéraire est fait essentiellement de route, nous prenons le bus pour avancer vers des chemins plus sur et agréables. Nous arrivons dans l après midi au village de Oyacachi. En cherchant un endroit pour poser notre tente nous rencontrons Giovani. Il nous propose de dormir dans la maison qu il est en train de construire. En début de soirée nous nous présentons au président de la communauté (Miguel Ascansar) pour obtenir notre autorisation de trekking des prochains jours. Ce soir nous nous endormons prés d un feu de cheminée.
Mercredi 13 mars
Au petit matin, nous reprenons la route en direction de Papallacta. Apres 2 heures de marche le brouillard tombe puis vient la pluie et le froid. Une voiture s arrête a notre niveau et nous propose de nous amener a Papallacta. Nous acceptons.
Jeudi 14 mars
Nous commençons par 5 Km de route avant de rejoindre El Tambo ou nous reprenons les pistes vers une Laguna. Nous devons de nouveau gravir 900 mètre de dénivelé. Au fil de nos pas, le terrain devient de plus en plus boueux, parfois nous nous enfonçons jusqu’au genoux dans la boue. Nous avons les pieds trempes, nous avançons difficilement. Nous ne poserons notre tente qu a la tombée de la nuit.
Journée éprouvante ! Les paysages sont magnifiques.
Vendredi 15 mars
Nous reprenons en direction de Santa Lucia dans les mêmes conditions qu hier. Ce n est qu en fin de journée que le terrain devient plus praticable. Après avoir chercher en vain Santa Lucia, Nous posons notre campement vers 18h00 a 4400 mètres d altitude, après 10 heures de marche. Notre tente est tournée face au volcan Antisana dont nous apercevons le sommet enneige entre 2 nuages.
Samedi 16 mars
Ce matin nous avons eu une belle éclaircie qui nous a permis de faire sécher la tente et nos vêtements. Ce fut de courte durée. Nous reprenons ensuite dans la brume. Dans l après midi l orage gronde au loin puis vient la pluie. Nous décidons de quitter notre chemin pour suivre une route et nous donner la chance de rencontrer un automobiliste (nous n avons vu personne depuis 3 jours). Quelques voitures plus tard, Juan Carlos et sa famille nous prennent en stop et nous conduisent jusqu’à San Rafael aux portes de Quito. Ce soir nous dormons a l hôtel, la gérante nous prête sa buanderie pour que nous lavions nos vêtements.
Un peu plus tôt nous sommes allés au centre commercial San Luis a 10 minutes en bus pour nous ravitailler en pâtes et en biscuits pour les prochains jours. Incroyable, nous sommes passes en 2 heures du désert et l immensité de la montagne a la foule d un complexe commercial ultra moderne.
Dimanche 17 mars
Nous passons près de 3h a sécher nos vêtements au sèche cheveux (1). Le temps est ensoleille et nous décidons de rejoindre le parc national du Cotopaxi en bus. Le Cotopaxi est un volcan célèbre en Equateur. Plus nous nous rapprochons plus le soleil disparaît la pluie fait une nouvelle fois son apparition, je demande donc en cours de route a prolonger le parcours jusqu’à Latacunga : terminus du bus. Il nous en coûtera 1 dollar (2) de plus.
(1) Pour des raisons de place et de poids nous n avons chacun qu 1 pantalon, 2 t-shirt et 1 polaire, nous devons absolument les faire sécher pour les remettre.
(2) En Equateur la monnaie est le US Dollar.
Les voyages en bus sont économiques, quelques centimes pour les trajets courts a 3 dollars pour les trajets les plus longs.
Lundi 18 mars
Avant de reprendre les chemins vers Patate et Riobamba nous terminons de mettre a jour le blog que nous n avions pas pu compléter depuis plusieurs jours. Le temps est gris, nous comptons sur la fin de la saison humide pour avoir de plus en plus de soleil et pouvoir enfin marcher plus comme nous l avions prévu.
Nous prenons la route, après le petit déjeuner, pour notre premier jour de marche. Nous sortons assez rapidement de la ville d Otavalo. Une fois la Panamericaine traversée nous passons tout d abord des villages ou les habitants sortent a leur porte, intrigues, ils nous indiquent le chemin vers la Laguna Mojanda : lac vers lequel nous nous dirigeons. Petit a petit nous nous enfonçons vers la foret et les aboiements des chiens sont remplacés par le bruit des feuilles sous le vent et par le chant des oiseaux bien plus agreable.
Plus tard l´orage gronde au loin et nous essuyons notre première averse. Le terrain devient glissant d´autant plus que nous devons gravir près de 900 mètres de dénivelé et que nous n´avons pas trouve notre itinéraire. Nous suivons un chemin plus ou moins parallèle (nous le retrouverons plus tard).
Nous arrivons a la Laguna Mojanda en fin de journée ou nous poserons notre premier campement.
Lundi 11 mars
C est la lumière du soleil qui nous réveil, il est 6h00. Il nous faut près de 2h30 pour nous préparer :
- Allumer le réchaud
- Faire bouillir de l eau pour faire cuire des pâtes (1)
- Rouler les tapis de sol et les duvets
- Sécher la tente
- Tout ranger dans nos sacs étanches et faire nos sacs
- Descendre au bord de la lagune pour filtrer l eau de la journée.
Nous reprenons ensuite notre route vers Cochasquis ou nous visitons les ruines d´un site pré-incas.
Apres ces deux premiers jours de marche, pas encore habitues au poids des sacs (env 11 Kg pour Stéphanie et 15 Kg pour Mickaël), nous sommes fatigues et hésitons a partir pour 2 jours supplémentaires. Un groupe d Américains suivant la visite en même temps que nous, nous propose de nous amener a Cayambe prochaine ville de notre itinéraire. Nous passons la nuit dans un hôtel, nous en profitons pour faire notre lessive (a la main bien sur).
Nous nous apercevons vite que notre voyage est physique non seulement par la marche, mais nous devons aussi tout faire a la main : pomper l eau pour la filtrer, essorer les vêtements, rouler bien serre les duvets, ...
(1) Les pâtes sont ce que nous avons trouve de plus pratique, léger a transporter, facile et rapide a préparer elles se conservent bien, ne laissent pas de déchets et surtout elles remplissent le ventre. Quand nous les achetons, nous les vidons dans un sac étanche pour supprimer les emballages.
Mardi 12 mars
Ce matin, nous commençons la route en longeant la Panaméricaine sur 2 Km. Nous nous dirigeons vers l obélisque : monument dédié a la ligne de l équateur. Il s agit d une horloge solaire géante située pile sur l équateur : d un cote l hémisphère nord de l autre l hémisphère sud. Notre itinéraire est fait essentiellement de route, nous prenons le bus pour avancer vers des chemins plus sur et agréables. Nous arrivons dans l après midi au village de Oyacachi. En cherchant un endroit pour poser notre tente nous rencontrons Giovani. Il nous propose de dormir dans la maison qu il est en train de construire. En début de soirée nous nous présentons au président de la communauté (Miguel Ascansar) pour obtenir notre autorisation de trekking des prochains jours. Ce soir nous nous endormons prés d un feu de cheminée.
Mercredi 13 mars
Au petit matin, nous reprenons la route en direction de Papallacta. Apres 2 heures de marche le brouillard tombe puis vient la pluie et le froid. Une voiture s arrête a notre niveau et nous propose de nous amener a Papallacta. Nous acceptons.
Jeudi 14 mars
Nous commençons par 5 Km de route avant de rejoindre El Tambo ou nous reprenons les pistes vers une Laguna. Nous devons de nouveau gravir 900 mètre de dénivelé. Au fil de nos pas, le terrain devient de plus en plus boueux, parfois nous nous enfonçons jusqu’au genoux dans la boue. Nous avons les pieds trempes, nous avançons difficilement. Nous ne poserons notre tente qu a la tombée de la nuit.
Journée éprouvante ! Les paysages sont magnifiques.
Vendredi 15 mars
Nous reprenons en direction de Santa Lucia dans les mêmes conditions qu hier. Ce n est qu en fin de journée que le terrain devient plus praticable. Après avoir chercher en vain Santa Lucia, Nous posons notre campement vers 18h00 a 4400 mètres d altitude, après 10 heures de marche. Notre tente est tournée face au volcan Antisana dont nous apercevons le sommet enneige entre 2 nuages.
Samedi 16 mars
Ce matin nous avons eu une belle éclaircie qui nous a permis de faire sécher la tente et nos vêtements. Ce fut de courte durée. Nous reprenons ensuite dans la brume. Dans l après midi l orage gronde au loin puis vient la pluie. Nous décidons de quitter notre chemin pour suivre une route et nous donner la chance de rencontrer un automobiliste (nous n avons vu personne depuis 3 jours). Quelques voitures plus tard, Juan Carlos et sa famille nous prennent en stop et nous conduisent jusqu’à San Rafael aux portes de Quito. Ce soir nous dormons a l hôtel, la gérante nous prête sa buanderie pour que nous lavions nos vêtements.
Un peu plus tôt nous sommes allés au centre commercial San Luis a 10 minutes en bus pour nous ravitailler en pâtes et en biscuits pour les prochains jours. Incroyable, nous sommes passes en 2 heures du désert et l immensité de la montagne a la foule d un complexe commercial ultra moderne.
Dimanche 17 mars
Nous passons près de 3h a sécher nos vêtements au sèche cheveux (1). Le temps est ensoleille et nous décidons de rejoindre le parc national du Cotopaxi en bus. Le Cotopaxi est un volcan célèbre en Equateur. Plus nous nous rapprochons plus le soleil disparaît la pluie fait une nouvelle fois son apparition, je demande donc en cours de route a prolonger le parcours jusqu’à Latacunga : terminus du bus. Il nous en coûtera 1 dollar (2) de plus.
(1) Pour des raisons de place et de poids nous n avons chacun qu 1 pantalon, 2 t-shirt et 1 polaire, nous devons absolument les faire sécher pour les remettre.
(2) En Equateur la monnaie est le US Dollar.
Les voyages en bus sont économiques, quelques centimes pour les trajets courts a 3 dollars pour les trajets les plus longs.
Lundi 18 mars
Avant de reprendre les chemins vers Patate et Riobamba nous terminons de mettre a jour le blog que nous n avions pas pu compléter depuis plusieurs jours. Le temps est gris, nous comptons sur la fin de la saison humide pour avoir de plus en plus de soleil et pouvoir enfin marcher plus comme nous l avions prévu.
samedi 9 mars 2013
De Quito a Otavalo
Jeudi 7 mars
ca vous dit un petit tour dans Quito?
Nous voila partie dans le Quito tour bus: visite touristique qui permet de voir en trois heures les differents quartier de Quito: historique et moderne. Le meilleure compromis pour voir le tout Quito et rallier la gare du
Nord pour rejoindre notre prochaine etape: OTAVALO.
C est repartie pour un tour, 2 heures de bus pour rejoindre Otavalo, par la nouvelle route, la classe.
Vendredi 8 mars
Le marche d Otavalo gagne a etre connu: les odeurs, les saveurs, la multitude de fruits et de plantes a massif, a cette periode, c est extraordinaire... le depaysement est totale.
Samedi 9 mars
Arrivee a Otavalo, nous nous sommes rendu compte que nos sacs etaient trop lourd et que nous allions les allourdir avec l eau et la nourriture.
Comment gagner du poids dans notre sac quand on pense etre partie avec l essentiel?
C est tres simple, vous videz votre sac et vous remettez tout en cause.
Stephanie avant de partir avait lu "Marche avant" d Alexandre Poussin, dans lequel il donne quelques conseils, que nous avons suivi, pour alleger le sac:
Avez vous deja effectue votre plein de carburant a pied? Nous, c est chose faites. Nous venons de faire remplir notre reservoir a rechaud, entre deux poids lourds, nous paraissons minuscule.
Alimentation achete, nous sommes fin pret pour partir demain direction Cayambe.
ca vous dit un petit tour dans Quito?
Nous voila partie dans le Quito tour bus: visite touristique qui permet de voir en trois heures les differents quartier de Quito: historique et moderne. Le meilleure compromis pour voir le tout Quito et rallier la gare du
Nord pour rejoindre notre prochaine etape: OTAVALO.
C est repartie pour un tour, 2 heures de bus pour rejoindre Otavalo, par la nouvelle route, la classe.
Vendredi 8 mars
Le marche d Otavalo gagne a etre connu: les odeurs, les saveurs, la multitude de fruits et de plantes a massif, a cette periode, c est extraordinaire... le depaysement est totale.
Samedi 9 mars
Arrivee a Otavalo, nous nous sommes rendu compte que nos sacs etaient trop lourd et que nous allions les allourdir avec l eau et la nourriture.
Comment gagner du poids dans notre sac quand on pense etre partie avec l essentiel?
C est tres simple, vous videz votre sac et vous remettez tout en cause.
Stephanie avant de partir avait lu "Marche avant" d Alexandre Poussin, dans lequel il donne quelques conseils, que nous avons suivi, pour alleger le sac:
- Couper toutes les etiquettes de nos vetements et materiels,
- Couper les sangles trop longues de nos sacs,
- Enlever les emballages inutiles (housses des duvets, draps de soies, serviettes eponges...)
- Enlever les piles non rechargeables,
- Garder la partie francaise uniquement des notices du materiel,
- Suppression des caches cols. Nous utiliserons nos foulards a la place (protection contre le soleil)
- Stephanie a ete jusqu a couper la partie talon-cheville de ses sandales,
- Nous avons enlever les deux housses qui nous ont servi a proteger nos sacs a dos pendant le vol + le sac qui nous a servi en cabine,
- ...............................................................................
- Stephanie s est meme fait couper les cheveux (LOL)
Avez vous deja effectue votre plein de carburant a pied? Nous, c est chose faites. Nous venons de faire remplir notre reservoir a rechaud, entre deux poids lourds, nous paraissons minuscule.
Alimentation achete, nous sommes fin pret pour partir demain direction Cayambe.
mercredi 6 mars 2013
Voyage vers Quito
Bonjour a tous,
Nous remercions toutes les personnes qui sont venus a notre pot de depart le dimanche 03 mars ou qui nous ont envoye des messages de sympathie et d encouragement.
C est avec les emotions des grands depart que nous nous sommes envoles en direction de Madrid.
Suite a un probleme technique sur l avion Madrid-Quito, nous avons ete contraint d attendre 2H30 de plus avant de redecoller. En vol, nous avons appris qu il y avait une escale a Guayaquil. Celle-ci s est tranforme en destination finale pour les passagers de Quito. Apres un flou de communication sur la raison de notre arret a Guayaquil, la compagnie aeriene Iberia nous pris en charge:
- transfert en bus vers l hotel
- chambre,
- diner,
- petit dejeuner.
Un joli cadeau pour nos 4 mois de mariage, un tour en bus dans les rues de Guayaquil sous 30 degres et une pluie battante mais ce que nous retiendrons le plus c est la sublime chambre double au Hilton!!!! la classe.
Apres une courte nuit, nous avons repris un vol regulier d une autre compagnie vers Quito. En vol, nous avons fait la connaissance d un couple vendeen - comme nous- partis de Nantes et ayant reserver une chambre dans le meme hotel que nous: Portal de cantuña a Quito. Il nous ont offert le taxi jusqu a l hotel pour notre 4 eme mois de mariage. L aventure commence bien.
L aventure continue avec le taxi. Petite parenthese qui en fera rire plus d un: c est une femme au volant ... Nous avons mis 1H30 pour rejoindre l hotel au lieu 45 minutes ... Un peu long pour des voyageurs impatient de poser leurs valises.
Pour le moment, nous n avons pas le sentiment d etre parti pour longtemps.
PS: Nous nous excusons pour l orthographe, le clavier qwerty, rend impossible l utilisation des accents et la frappe difficile.
Nous remercions toutes les personnes qui sont venus a notre pot de depart le dimanche 03 mars ou qui nous ont envoye des messages de sympathie et d encouragement.
C est avec les emotions des grands depart que nous nous sommes envoles en direction de Madrid.
Suite a un probleme technique sur l avion Madrid-Quito, nous avons ete contraint d attendre 2H30 de plus avant de redecoller. En vol, nous avons appris qu il y avait une escale a Guayaquil. Celle-ci s est tranforme en destination finale pour les passagers de Quito. Apres un flou de communication sur la raison de notre arret a Guayaquil, la compagnie aeriene Iberia nous pris en charge:
- transfert en bus vers l hotel
- chambre,
- diner,
- petit dejeuner.
Un joli cadeau pour nos 4 mois de mariage, un tour en bus dans les rues de Guayaquil sous 30 degres et une pluie battante mais ce que nous retiendrons le plus c est la sublime chambre double au Hilton!!!! la classe.
Apres une courte nuit, nous avons repris un vol regulier d une autre compagnie vers Quito. En vol, nous avons fait la connaissance d un couple vendeen - comme nous- partis de Nantes et ayant reserver une chambre dans le meme hotel que nous: Portal de cantuña a Quito. Il nous ont offert le taxi jusqu a l hotel pour notre 4 eme mois de mariage. L aventure commence bien.
L aventure continue avec le taxi. Petite parenthese qui en fera rire plus d un: c est une femme au volant ... Nous avons mis 1H30 pour rejoindre l hotel au lieu 45 minutes ... Un peu long pour des voyageurs impatient de poser leurs valises.
Pour le moment, nous n avons pas le sentiment d etre parti pour longtemps.
PS: Nous nous excusons pour l orthographe, le clavier qwerty, rend impossible l utilisation des accents et la frappe difficile.
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